Introduction:
Le point de
Gräfenberg , communément appelé le « point
G », désigne une zone du
vagin,
dont la stimulation provoque un
orgasme
particulièrement intense chez la femme. Cette
zone fortement érogène est située dans la paroi
antérieure du
vagin.
Le plaisir
féminin peut être divisé principalement en un
plaisir clitoridien (acquit souvent depuis les
premier âge) et le plaisir vaginal (d'apparition
plus tardive, s'acquiert avec l expérience, et n
est pas toujours présent mais jugé plus intense
que le clitoridien).
Les structures
qui pourraient correspondre au ne sont
pas connues avec précision. Elle pourrait
correspondre à l'équivalent de la prostate chez
la femme.
L'injection de
cette zone peut augmenter le plaisir
provoqué par le rapport. Il permet probablement
une mise sous tension des structures richement
innervé de ce point, et les rend donc très
"réceptive".
Notre équipe a
été entrainée par le Dr Matlock, fondateur de la
méthode à Los Angeles et possède tout les
diplômes pour pouvoir les injecter de manière
efficace et sûr.
Localisation du :
La seule
certitude est que le vagin possède des zones, le
plus souvent sur sa paroi antérieure, dont la
stimulation tactile est intensément érogène et
peut conduire à l'orgasme.
Le
féminin, est une zone située dans la
paroi antérieure du
vagin
à 1 - 4 cm
de profondeur. Il a la forme d'une petite boule
palpable de moins d'un centimètre qui augmente
de taille lors d'une stimulation.
Le a
la capacité de réagir en se gonflant quand il
est stimulé avec un
doigt
ou avec le
pénis.
La stimulation de cette zone peut provoquer des
sensations intenses et favoriser la montée de
l'excitation sexuelle.
(Wikipédia)
Introduction:
Le point de
Gräfenberg , communément appelé le « point
G », désigne une zone du
vagin,
dont la stimulation provoque un
orgasme
particulièrement intense chez la femme. Cette
zone fortement érogène est située dans la paroi
antérieure du
vagin.
Le plaisir
féminin peut être divisé principalement en un
plaisir clitoridien (acquit souvent depuis les
premier âge) et le plaisir vaginal (d'apparition
plus tardive, s'acquiert avec l expérience, et n
est pas toujours présent mais jugé plus intense
que le clitoridien).
Les structures
qui pourraient correspondre au ne sont
pas connues avec précision. Elle pourrait
correspondre à l'équivalent de la prostate chez
la femme.
L'injection de
cette zone peut augmenter le plaisir
provoqué par le rapport. Il permet probablement
une mise sous tension des structures richement
innervé de ce point, et les rend donc très
"réceptive".
Notre équipe a
été entrainée par le Dr Matlock, fondateur de la
méthode à Los Angeles et possède tout les
diplômes pour pouvoir les injecter de manière
efficace et sûr.
Localisation du :
La seule
certitude est que le vagin possède des zones, le
plus souvent sur sa paroi antérieure, dont la
stimulation tactile est intensément érogène et
peut conduire à l'orgasme.
Le
féminin, est une zone située dans la
paroi antérieure du
vagin
à 1 - 4 cm
de profondeur. Il a la forme d'une petite boule
palpable de moins d'un centimètre qui augmente
de taille lors d'une stimulation.
Le a
la capacité de réagir en se gonflant quand il
est stimulé avec un
doigt
ou avec le
pénis.
La stimulation de cette zone peut provoquer des
sensations intenses et favoriser la montée de
l'excitation sexuelle.
Localisation du point
(version vidéo anglaise):
http://www.youtube.com/watch?v=hwJElbadlK0&has_verified=1
Localisation du point
(version vidéo anglaise):
http://www.youtube.com/watch?v=hwJElbadlK0&has_verified=1
Indications:
, Docteur
je le veux!
«Quand j'ai
entendu parler de cet aphrodisiaque sans calorie, je
n'ai pas eu d'hésitation et j'ai posé la question à
mon gynécologue. Après l'intervention, j'ai eu un
début d'orgasme dans le bus tellement «mon bouton
doré» était stimulé», raconte Elena*, la
cinquantaine enjouée. Intervention? «Bouton doré»?
C'est qu'il est désormais possible d'amplifier le
par injection d'acide hyaluronique. Une
méthode analogue à celle de la chirurgie esthétique
destinée au comblement de rides. Le principe est
simple: gonfler la zone et le volume du fameux point
G, situé dans la paroi antérieure du vagin, à 4 ou
5 cm de la vulve. Plus de volume, plus de plaisir.
Le procédé a été développé en Californie, dès 2001,
sous l'impulsion du médecin David Louis Matlock,
surnommé par certains «le Picasso du vagin».
Mais revenons un
peu en arrière, à l'existence même de ce fameux
si controversé, pour des raisons souvent
moins médicales qu'idéologiques. Ce que l'on sait:
scientifiquement, il existe, chez la majorité des
femmes, une zone particulièrement innervée ??et donc
très sensible ??aux tissus un peu rugueux et
spongieux. Mais là s'arrêtent les consensus et
commencent les hypothèses. Pour certains, il
s'agirait de glandes para-urétrales; d'autres
pensent que ce serait le prolongement du clitoris
dans le vagin; d'autres encore assimilent ce point à
«une prostate embryonnaire». Empiriquement, en tout
cas, des études américaines ont constaté que le
avait des pouvoirs antidouleur lors de
l'accouchement.
Si l'approche
scientifique n'a guère été plus loin, c'est que
cette mythique zone de plaisir s'emmêle dans un
incroyable fatras idéologique. Plusieurs fantasmes
lui sont attachés, notamment celui (merci Platon?)
qui postule que toute femme l'ayant découvert
deviendrait nymphomane. A l'inverse, certains
courants féministes américains voient dans cette
idéalisation du un retour à Freud et à sa
hiérarchie des plaisirs féminins: l'orgasme
clitoridien jugé mineur, incomplet, face au plaisir
vaginal, le seul réservé «aux vraies femmes.» Les
conservateurs quant à eux n'ont jamais vu d'un bon
?il que le vagin puisse servir à autre chose qu'à la
procréation. Bref, parler du , c'est ouvrir
la boîte de Pandore.
Reste que celles
qui l'ont trouvé ne cessent de s'en féliciter?
Faut-il dès lors, dans le doute, se précipiter chez
son gynécologue et réclamer une (ré) animation de
toute cette zone sensible? Ce serait trop simple.
Selon des statistiques citées par le Dr
Benet, médecin esthétique français, «16% des femmes
n'ont pas de du tout». On pourrait les
reconnaître à une élasticité, un rebondi, un peu
différent dans cette zone. Pour ces femmes,
l'intervention serait donc inutile. Et pour les
autres? Si le participe sans doute au
plaisir, il n'en est pas le seul et exclusif
ingrédient. «Une femme n'est pas une machine, et il
serait dommage de normaliser la jouissance féminine
qui peut avoir plusieurs expressions, y compris en
dehors des zones érogènes», sourit le gynécologue
genevois Stevan Jovanovic, l'un des rares en Suisse
romande à pratiquer cette intervention indolore. Il
faut donc tenir compte de deux paramètres quand on
gonfle le . Le premier est mécanique:
stimuler cette zone très innervée. «Mais le second
paramètre ??psychologique ??est tout aussi
important, poursuit Stevan Jovanovic. Le plaisir
relève aussi de la relation avec son partenaire, de
sa confiance en soi, de son rapport au corps. Il a
aussi une dimension symbolique: que s'autorise-t-on
par rapport à ses propres interdits? Quelles
émotions recherche-t-on? Le n'est qu'une
partie d'un tout».
En gros, disons
que l'intervention sur la zone de plaisir est
surtout destinée à deux types de femmes: les
a-orgasmiques chez qui l'on essaye de faire naître
l'orgasme; et celles qui, ayant une vie sexuelle
épanouie, ont juste envie d'intensifier leur
plaisir. «Pour celles-ci, poursuit le Dr
Stevan Jovanovic, la sexualité clitoridienne est
acquise, mais la sexualité vaginale s'apprend et
cela peut prendre du temps. Il ne faut toutefois pas
le proposer aux femmes qui sont contentes de leur
sexualité actuelle au risque de les rendre
«anormales» si elles n'éprouvent pas de plaisir
vaginal. Le n'est qu'une des multiples
manières d'arriver à l'orgasme.» Même avis chez la
gynécologue Christine Vahdat, qui pratique cette
intervention à Paris: «Les effets sont aussi très
bons sur les mères qui se plaignent de ne plus
éprouver le même plaisir qu'avant leur
accouchement.»
Un remède contre
la routine qui peut s'adresser à toutes les femmes
qui aiment l'amour, à tout âge, ménopausées ou non.
Elena confirme: «Je me suis offert ce nouveau jouet
comme cadeau de Noël. Je prends davantage de plaisir
et mon partenaire le sent aussi, du coup, il m'en
donne encore plus. Je le recommande d'autant plus
que cela ne fait vraiment pas mal.» Du coup, Elena
s'est présentée pour un second traitement?
Concrètement,
l'intervention, indolore, se pratique en
ambulatoire, dans le cabinet du médecin et coûte
moins de 1000 francs. Les effets s'en font sentir
quelque six à huit mois et dans 90% des cas, selon
le Dr Jovanovic, l'intervention est
réussie. En outre, le procédé offre l'avantage
d'être réversible, en cas de non-satisfaction. La
demande? En augmentation, il va sans dire. Depuis
quatre ans qu'il la pratique, Stevan Jovanovic
constate un réel intérêt. Pourtant, le sujet
est encore tabou
en Suisse et les médecins rechignent un peu à en
parler. Peut-être parce que la notion de plaisir
dans la sexualité féminine n'est pas encore 100%
assumée. «Alors qu'il existe plus d'une quinzaine de
médicaments pour parer aux troubles orgasmiques chez
l'homme, rien n'est prévu pour la femme.
L'augmentation du en est un. Les femmes ont
atteint la liberté dans leur travail, dans
l'éducation de leurs enfants, pourquoi ne pas leur
permettre de la gagner dans leur sexualité?»
commente le gynécologue.
*?Prénom
d'emprunt.
Fabienne Rosset